Samuel Montembeault

Samuel Montembeault a récemment signé une prolongation de contrat de 3 ans avec le Canadien totalisant 9,45 millions de dollars.

En moyenne, ce contrat rapportera 3,15 millions de dollars par année à Samuel, ce qui méritait d’être fêté.

La mère de Samuel a d’ailleurs récemment dévoilé en entrevue au journaliste Simon-Olivier Lorange de La Presse comment sa famille avait fêté cette nouvelle signature.

Voici ce qu’elle a déclaré :

«Sam est resté chez nous, on a mangé un pâté chinois, on s’est mis en pyjama et on a regardé un film de Noël. Ç’a été ça, la célébration. Il ne réalise pas qu’il est devenu Samuel Montembeault du Canadien de Montréal. Lui, c’est Samuel Montembeault de Sainte-Gertrude. Ça ne le stresse pas du tout.»

Et voici l’article complet :

Ainsi, Samuel et sa famille ont fêté la signature de son nouveau contrat en mangeant un simple pâté chinois et en regardant un film de Noël en famille.

Cela montre à quel point Samuel est simple et un gars de chez nous. Cette signature ne lui montera pas à la tête puisqu’il ne prend rien pour acquis et qu’il ne réalise pas encore qu’il occupe le poste de gardien numéro un du CH.

D’ailleurs, contrairement à de nombreux autres joueurs de la LNH, ce dernier conduit encore le même véhicule datant de 2016 qu’il avait acheté lors de la signature de son premier contrat.

Il a d’ailleurs dévoilé qu’il aimerait s’installer avec sa copine en Mauricie, près de sa ville natale, où la majorité de ses amis sont présents.

Samuel semble donner beaucoup d’importance à sa famille et à ses amis et on peut dire qu’il a les valeurs à la bonne place.

Félicitations Samuel pour ton nouveau contrat et nous te souhaitons beaucoup de succès pour le reste de la saison avec le Canadien.

À voir, découvrez Daryanne Ayotte la blonde du gardien Samuel Montembeault en 12 photos. Et que dire de Samuel qui a tellement l’air en amour sur la photo #2… Détails et photos dans l’article ci-dessous :

Découvrez Daryanne Ayotte la blonde du gardien Samuel Montembeault en 12 photos

Source: Simon-Olivier Lorange – La Presse